C’est-il y a dix-neuf ans, dans un hôpital très réputer dans le Michigan que madame Jenkins donna la vie à son premier et dernier enfant. La famille Jenkins est très connut dans le milieu des affaires et il y a de quoi. Possédant de nombreuses entreprises dans chaque coin du monde, ils sont très réputés. Ils sont surtout connus pour leurs prestigieuses lignes de palace et leur spa haute gammes. En gros, ils ont pas mal d’argent et n’ont aucune avec ça, bien au contraire. Les deux géniteurs de May n’étaient donc pas très présents pour cette dernière mais restaient tout de même complice. Faisant en sorte d’organiser chaque mois un week-end rien que pour tous les trois. Bien entendus, la règle d’or était « Aucun portable, aucun ordinateur. » May ne leur en a jamais trop voulut et savait que ce n’était pas pour la reniée. Même si, bien sûr, elle aurait préférée pouvoirs les voir plus régulièrement. On pourrait croire que cette fille deviendrait une espèce de garce sans cœur qui n’a que Prada, Gucci ou Chanel a la bouche mais non. Ce qui est assez surprenant. Elle n’est pas du tout du genre capricieuse et ne réclame jamais. Certes, elle fait les magasins comme toutes les filles de son âge, mais n’achète pas toujours forcément des vêtements de marques. Pour tout dire, elle n’aime pas se vanter de l’argent voir fortune que possèdent sa famille et cache très souvent son nom de famille. Pour elle, les personnes qui ne font que se mettre en avant par rapport à leur statut financier est pitoyable. Ce sont des inintéressantes et dépourvus d’intelligence. Quand elle a su toutes les fraternités et sororités présentes sur le campus, se fut un peu comme une évidence pour elle. Jamais elle n’intégrerait les Zeta Beta Zeta. De toute façon, si c’est pour passer du temps avec des filles superficielles, ça ne l’intéresse absolument pas. Son choix se porta donc sur la sororité qui possède la plus mauvaise réputation. Au moins, là-dedans, personne n’ira lui lécher les basques ou devenir son ami juste parce qu’elle a de l’argent. Par contre, ses parents ne furent pas très ravis d’apprendre que leur chère et unique petite fille faisait partie des Tri Pi. Très connue pour ses filles qui écarte les cuisses facilement et possèdent un petit pois à la place du cerveau. May est persuadée du contraire et est certaine que ce ne sont que des aprioris. La jeune fille va tout faire pour changer sa. Après tout, si ses rumeurs sont vraies, May n’est pas du tout comme ça et montrait surement un peu le niveau…